Droits fichiers wordpress

Appliquez les autorisations par défaut suivantes aux fichiers et répertoires WordPress :

  • Les fichiers et les répertoires appartiennent à l’utilisateur et au groupe choisi.
  • Les répertoires sont configurés avec les autorisations 775 par défaut.
  • Les fichiers sont configurés avec les autorisations 664 par défaut.
  • Le fichier wp-config.php est configuré avec les autorisations 640.

Si les autorisations sont erronées, utilisez les commandes chmod ou chown pour les restaurer à leur état initial. Par exemple, si CHEMIN_CIBLE est le dossier d’application WordPress :


sudo chown -R user_nom:groupe_nom TARGET
sudo find CHEMIN_CIBLE -type d -exec chmod 775 {} \;
sudo find CHEMIN_CIBLE -type f -exec chmod 664 {} \;
sudo chmod 640 CHEMIN_CIBLE/wp-config.php
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Utiliser l’authentification à deux facteurs d’Apple ID avec un système non supporté

J’ai activé il y a déjà quelques temps sur mon Apple ID l’authentification à deux facteurs afin de sécuriser les accès à ce compte. Mais les conditions d’utilisations de l’authentification à deux facteurs requièrent l’utilisation d’une version de macOS égale ou supérieure à El Capitan (10.11) ou iOS 9 ou ultérieur. Or, j’ai du pour diverses raisons rétrograder hier une machine en 10.10. Et là, le drame : impossible d’authentifier mon compte dans iTunes ! Pourtant le dialogue d’authentification apparaît bien dans iTunes, mais on me demande de retaper mon mot de passe AppleID, et au bout de deux essais, il m’éjecte… alors que le code de vérification apparait bien sur mes appareils de confiance !

Dans le dialogue de confirmation du mot de passe affiché par iTunes (ou par le système), tapez le mot de passe de votre AppleID suivi du code à 6 chiffres reçu sur un appareil de confiance. Le logiciel le reconnaitra alors immédiatement.

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Sauvegarde et restauration linux prod

monter un repetoire distant:

sshfs -p port utilisateur@server:/chemin/repertoire/distant /mnt


ensuite on sauvegarde et on compresse:

dd if=/dev/sda bs=100M | gzip -c > /mnt/image.dd.gz

Je mets un BS de 100M pour que ça aille plus vite (testé OK sur un SSD, à adapter sur un HDD)

Si on veut aller plus vite, on peut le faire avec la commande cat + compresser avec gzip. Cela fonctionne bien pour un disque entier :
Copier vers le presse-papierCode BASH :cat /dev/sda | gzip -c > /mnt/image.cat.gz


Si vous avez pv à votre disposition, pour suivre l'avancée :
Copier vers le presse-papierCode BASH :pv /dev/sda | gzip -c > /mnt/image.cat.gz

Restaurer une image dans le disque

Pour restaurer on effectue le processus inverse. Je passe la partie de montage de l’image :
Copier vers le presse-papierCode BASH :

gzip -dc /mnt/image.dd.gz | dd status=progress of=/dev/sda

Si on a sauvegardé avec cat + gzip, pour restaurer on utilise :
Copier vers le presse-papierCode BASH :

gzip -dc /mnt/image.cat.gz > /dev/sda

Si vous avez pv à votre disposition, pour suivre l’avancée :
Copier vers le presse-papierCode BASH :

pv /mnt/image.cat.gz | gzip -dc > /dev/sda

Cloner un disque A sur le B

Imaginons, le disque A est la source et le disque B la destination.
Il faut que B soit égal ou plus grand que A.

Pour cloner direct de disque à disque, on peut toujours utiliser dd :
Copier vers le presse-papierCode BASH :

dd status=progress if=/dev/sda of=/dev/sdb bs=100M

Je mets un BS de 100M pour que ça aille plus vite (testé OK sur un SSD, à adapter sur un HDD)

Pour cloner avec cat, on utilise simplement :
Copier vers le presse-papierCode BASH :

cat /dev/sda > /dev/sdb

Si vous avez pv à votre disposition, pour suivre l’avancée :
Copier vers le presse-papierCode BASH :

pv /dev/sda > /dev/sdb

Cloner à travers ssh

Si on veut s’éclater à copier une machine sur une autre, on peut démarrer les 2 machines sur un live CD.
Sur la machine de destination, on définit un mot de passe à root et on démarre le serveur SSH.

Si les 2 disques s’appellent /dev/sda, on pourra cloner depuis la machine source via :
Copier vers le presse-papierCode BASH :

dd status=progress if=/dev/sda bs=100M | ssh machinedistante  'dd of=/dev/sda'

On peut le faire avec cat, qui est plus rapide :
Copier vers le presse-papierCode BASH :

cat /dev/sda | ssh 10.21.21.231  'cat > /dev/sda'

Si vous avez pv à votre disposition, pour suivre l’avancée :
Copier vers le presse-papierCode BASH :

pv /dev/sda | ssh 10.21.21.231  'cat > /dev/sda'
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Update windows 10

https://www.microsoft.com/fr-fr/software-download/windows10

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reset password Konica Minoltas

C3350/C3850 series

Allez dans Menu, cliquez sur Compteur puis choisissez d’afficher le clavier

Appuyez sur: Stop, 0 , 0 , stop , 0 , 1 Le mot de passe est: 92729272 ou 9272927292729272 vous avez maintenant accès au: Service Mode

Appuyez ensuite sur: Stop , 2 , 2 , 2 , 0 , 0 bienvenue sur le mode: Enhanced Security Mode.

Cliquez sur  ‘Administrator Password’, et entrez le mot de passe désiré

 

C227

Allez dans Menu, cliquez sur Compteur puis choisissez d’afficher le clavier

Appuyez sur: Stop, 0 , 0 , stop , 0 , 1 Le mot de passe est: 92729272 ou 9272927292729272 vous avez maintenant accès au: Service Mode

Appuyez ensuite sur: C, 0 ou 0,C bienvenue sur le mode: Enhanced Security Mode.

Cliquez sur  ‘Administrator Password’, et entrez le mot de passe désiré

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Iperf par l’exemple

https://blog.nicolargo.com/2008/01/iperf-des-exemples.html

Nous commençons l’année 2008 avec un billet regroupant des exemples d’utilisation d’IPerf, l’outil en ligne de commande indispensable pour tester un réseau informatique.

Pour rappel, IPerf est un logiciel client/serveur, il faut donc deux machines positionner aux deux extremités du réseau à tester pour fonctionner.

Dans les exemples ci-dessous, nous allons considérer que nous allons utiliser deux machines nommées C (avec comme adresse IP: IPC) et S (avec comme adresse IP: IPS).

Exemple pour mesurer la bande passante disponible entre S et C

Attention, cette méthode mesure la bande passante au moment du test. Ce dernier dure par défaut 10 secondes et utilise le protocole TCP sur le port 5001.

Résultat (à lire sur la machine S):

Exemple pour générer un débit réseau entre C et S

On génère ici un flux en utilisant le protocole UDP et en fixant la bande passante à 1 Megabits par seconde. Le test dure par défaut 10 secondes.

Il est possible de choisir l’unité de mesure de débit avec l’option -b et en collant les lettres suivantes aux débits:

  • b: bits par seconde
  • k: kilobits par seconde
  • m: megabits par seconde
  • g: gigabits parseconde

pour un débit en octets par seconde, il faut utiliser ces lettres en majuscule)

Résultat (à lire sur la machine S):


Exemple pour générer un débit réseau entre C et S pendant 10 heures

Il peut être utile de générer un flux réseau plus long pour tester par exemple une liaison Internet pendant les heures d’utilisation. Nous allons donc utiliser l’option -t pour fixer la durée du test précédent à 10 heures (10*3600=36000 secondes).

Résultat (à lire sur la machine S):

Il est également possible d’ajouter l’option -i 3600 pour avoir un rapport intermédiaire toutes les heures (1*3600=3600 secondes).

Résultat (à lire sur la machine S):

Exemple pour générer 2 flux réseau entre S et C

Il est parfois utile de générer plusieurs flux UDP simultanément pour simuler une application. IPerf permet cela grâce à l’option -P et en donnant le nombre de flux à générer. L’exemple suivant génère 4 flux TCP entre S et C (simulation d’un serveur Web par exemple).

Résultat (à lire sur la machine S):

 

Exemple pour optimiser une connexion TCP entre S et C

Le protocole TCP, bien que capable pour s’adapter aux réseaux large bande, a été conçu lorsque les débits étaient beaucoup moins important. Les valeurs par défaut des fenêtres TCP (taille des paquets envoyé dans des trames TCP) ne sont pas forcement adapté aux réseaux actuels. IPerf permet de jouer avec la taille de ces fenêtres avec l’option -w. L’exemple suivant génère un flux TCP avec une taille de fenêtre de 130 kilo octets.

Résultat (à lire sur la machine S):

Exemple pour découvrir la taille du MTU entre S et C

Le MTU est la taille maximale du paquet pouvant être transmis sur la couche réseau sans être segmenté. La découverte de cette valeur peut être utile à l’optimisation de votre réseau et des applications qui tourne dessus. IPerf permet d’obtenir cette valeur grâce à l’option -m (à lancer sur le serveur).

Résultat (à lire sur la machine S):

 

Exemple pour tester un flux de type VoIP entre C et S

Les paquets de type voix sur IP on les caractéristiques suivantes: protocole UDp et taille des paquets petites (bien inférieure au MTU). Le meilleur moyen de tester un flux de type VoIP avec IPerf est d’utiliser les options -l (taille du datagram) et -w (taille maximale du buffer recevant les datagras) en fixant une valeur de datagram inférieure à celle du buffer.

Résultat (à lire sur la machine S):

Remarque: bien que Iperf soit disponible sur de nombreuses plate-forme (Linux, BSD, Mac, Windows), l’option -l ne fonctionne pas toujours quand vous utiliser des OS différents entre le client et le serveur.

Exemple pour utiliser IPerf sur un port différent

Par défaut, Iperf utilise le numéro de port 5001 (TCP et/ou UDP). Selon votre configuration (notamment au niveau des ACL des routeurs/firewalls), il peut être utile d’utiliser un autre port, pour cela, il faut passer par l’option -p. L’exemple suivant permet de générer un flux réseau TCP entre S et C sur le port 80 (port Web standard).

Résultat (à lire sur la machine S):

Voici donc quelques exemple d’utilisation d’Iperf, si vous en avez d’autres, les commentaires sont ouverts !

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Masquer les mises à jour WordPress pour les utilisateurs non administrateurs

Ajouter le code ci dessous dans le fichier functions du theme wordpress:

if (!current_user_can('update_plugins')) {
	add_action('admin_init', create_function(false,"remove_action('admin_notices', 'update_nag', 3);"));
}
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Supprimer sauvegardes de plus de N jours

Windows – Powershell


$dateASupprimer = (Get-Date).adddays(-7).ToString(‘yyyyMMdd’)
$cheminRepertoires = « E:\DATAS\Sauvegardes »
$pathusers = gci $cheminRepertoires -name
foreach($dir in $pathusers){
$folder = « $cheminRepertoires$dir\$dateASupprimer »
$Path = Test-Path $folder
If ($Path -eq $True){
     write-host « $folder existe »
Remove-Item $folder -Recurse
}
}
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Postfix – modifier l’adresse sender dans les mails en queue

Dans le fichier /etc/postfix/main.cf:
smtp_generic_maps = hash:/etc/postfix/generic

Dans le fichier /etc/postfix/generic:
account@localdomain.example.com account@example.com

Ensuite

postmap /etc/postfix/generic

postfix reload

postqueue -f

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Touches Machintosh au démarrage

 

Shift (maj) : Permet de démarrer le Mac en mode « safe ». C’est à dire en mode de base, sans toutes les applications que vous auriez pu installer au démarrage. Cela permet de savoir si votre souci est provoqué par une de vos applications ou par un processus propre au système macOS.

Option (alt) : Lance le gestionnaire de boot qui vous permettra de choisir le disque sur lequel vous voulez booter.

Command + R : Démarre en mode récupération (Recovery Mode). Cela vous permettra de remettre à zéro votre Mac, de réinstaller macOS, de restaurer une TimeMachine, ou d’utiliser la ligne de commande ou l’utilitaire de disques pour réparer ou formater un disque dur.

Shift + Command + Option + R : Lance aussi le mode Internet Recovery. C’est comme le mode de récupération décrit ci-dessus sauf que tout se lance à partir d’Internet. Cela permet de réinstaller macOS ou autre, même quand la partition de récupération est totalement HS.

Command + S : Démarre le Mac sur un shell qui vous permettra de lancer quelques lignes de commande comme fsck (Analyse de disque).

Command + V : Le mode verbose, qui affichera tous les messages de diagnostics à la place de la pomme, lors du lancement. Cela vous permettra d’isoler un éventuel problème lors du boot.

Command + Option + P + R : Remet à zéro la NVRAM et la PRAM. Il s’agit de petits modules de mémoire contenant certains paramètres liés à votre Mac. Parfois les remettre à zéro permet de régler quelques soucis liés au matériel (problème d’affichage, de son, de réseau…etc.). Pour que cela fonctionne, maintenez ces touches au démarrage puis au bout de 20 secondes, relâchez-les. Normalement, le Mac devrait rebooter une fois avant de démarrer normalement.

Shift + Control + Option + Power : Permet de remettre à zéro le SMC (System Management Controller). Ce contrôleur gère la batterie, la vitesse du ventilo, la mise en veille…etc. Donc si vous avez des soucis avec l’alimentation, la batterie, ou le ventilo, vous pouvez tenter le coup. Pour cela, éteignez votre Mac, puis appuyez sur Shift + Control + Option dans la partie gauche du clavier, et appuyez en même temps sur le bouton d’alimentation. Maintenez ces touches et le bouton d’alimentation enfoncés pendant 10 secondes. Relâchez toutes les touches et appuyez à nouveau sur le bouton d’alimentation pour allumer votre Mac. Si vous avez un iMac, il suffit de débrancher le câble d’alim pendant 15 secondes, de le rebrancher, d’attendre 5 secondes, puis de démarrer l’ordinateur.

Touche C : Permet de démarrer à partir d’un CD, DVD ou d’une clé USB sur lequel il y a un macOS fonctionnel.

Touche T : Démarre en mode « Target Disk ». C’est un mode qui permet à l’ordinateur de se comporter comme un disque dur externe. C’est pratique pour brancher sur votre Mac, un autre Mac avec un câble, afin de récupérer des données comme si vous aviez branché un disque sur.

Touche Eject, bouton de la souris ou Touche F12 : Permet d’éjecter de force un CD ou un DVD du lecteur.

Touche X: Oblige le système à booter sur le disque de démarrage.

Touche D: Démarrer l’ordinateur en mode diagnostic.

Option + D: Même chose que ci-dessus en version Internet, ce qui permet de contourner le système de stockage interne de l’ordinateur.

Touche N : Permet de booter à partir d’un serveur compatible Netboot (boot réseau)

Option + N: Permet de booter sur une image par défaut, à partir d’un serveur compatible Netboot

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